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En voyage à vélo, on ne peut pas emporter tout ce que l’on veut, encore moins en bikepacking. Cette pratique consiste à voyager léger, sans porte-bagage. Pourtant, le matériel de bikepacking doit comprendre des vêtements, quelques outils, potentiellement des antivols et de quoi dormir si vous optez pour le camping… Tout cela prend beaucoup de place ! Alors comment ne rien oublier et comment ne pas s’encombrer inutilement ?

Je vous propose dans cet article quelques conseils ainsi que la liste de ce que j’emporte, sachant que cela va dépendre de chacun·e, de la durée et du type de voyage, du vélo, du budget, de la météo, etc. D’ailleurs, je pars ici du principe qu’il fera beau (même si cet article est posté fin septembre…) et je compléterai avec un autre blogpost spécifique pour la pluie et le froid. Préparez votre liste de voyage, c’est le moment de rassembler votre matériel de bikepacking !

Les vêtements

C’est évident pour certain·es, mais pas forcément pour tout le monde : il vaut mieux opter pour des vêtements spécifiques vélo lorsque vous envisagez de pédaler plusieurs heures par jour. Et si le lycra moulant au couleurs des sponsors du Tour de France ne vous attire guère, sachez qu’il existe tout une gamme de vêtements sans sponsor et adaptés à la pratique du bikepacking.

Cuissard

Le cuissard remplace le caleçon, la culotte ou autre sous-vêtement et permet d’amortir le contact avec la selle grâce à de la mousse ou du gel. Un bon cuissard associé à une bonne selle et un peu d’habitude et vous pourrez rouler des heures sans douleur.

Le cuissard existe avec ou sans bretelles ; personnellement je préfère sans, c’est plus pratique pour les pauses techniques. Prix : environ 30€ à 120€, mais on en a généralement pour son argent donc plus c’est cher, meilleure est la qualité, l’amorti avec la selle et donc le confort. La sélection ci-dessous est un peu chère, mais ce sont vraiment des produits de qualité.

Prévoyez au moins 2 cuissards car il faudra en changer chaque jour et donc nettoyer le premier lorsque vous portez le second.

T-shirt

Le maillot de vélo est différent d’un t-shirt classique car la matière qui le compose permet une meilleure aération et donc moins de transpiration. Il est équipé de poches à l’arrière, car les shorts de vélos n’en sont pas toujours pourvus. Il est proche du corps pour réduire la prise au vent et possède souvent une fermeture éclair pour pouvoir s’aérer davantage en cas de besoin.

J’ai principalement des t-shirts B’Twin/Van Rysel de chez Décathlon et ils sont vraiment top. De l’entrée de gamme à 20€, qui suffit pour les petites sorties, au plus haut de gamme aux alentours de 50€ pour les sorties plus longues ou techniques. Je recommande vraiment et par temps chaud, je n’ai jamais ressenti le besoin de m’équiper chez une marque plus premium, contrairement aux cuissards. Là aussi, vous devrez le changer chaque jour donc prévoyez en 2.

T-shirt vélo Vanrysel

Il vous faut probablement aussi au moins un t-shirt « non vélo », pour le soir quand vous n’êtes pas en train de rouler, que ce soit au camping/hôtel/restaurant, etc. Parce que les t-shirts vélos ne sont pas toujours super agréables et adaptés lorsque l’on ne pédale pas. Indispensable du bikepacking donc, mais pas de vos sorties plage en fin de journée !

Chaussettes

Je n’ai jamais ressenti le besoin de m’équiper en chaussettes spécifiques pour le vélo, à part quand il fait très froid, et encore. Je porte exclusivement des paires de chaussettes Puma, mais choisissez la marque et modèle qui vous conviendra. En revanche si je pars avec 2 cuissards et 2 t-shirts de vélo, je prends au moins 3 paires de chaussettes, car je porte généralement des chaussettes aussi le soir, hors vélo, donc il faut prévoir une paire supplémentaire.

Short

Je n’aime pas rouler juste en cuissard et j’ai opté pour un short Mavic que j’adore ! Il sèche très vite, il est très aéré et souple donc bien adapté à la pratique du vélo, la taille s’ajuste avec des petits scratchs discrets, il a d’énormes poches et résiste très bien après quelques années. A part le prix (une centaine d’euros pour un short…) il est parfait ! D’ailleurs il est tellement confortable qu’on peut le porter même quand on n’est pas en mode bikepacking.

Short Deemax Pro [0]

Veste

Même en plein été, quand je pars plusieurs jours j’emporte une veste. Je sais qu’il existe mieux, mais j’aime bien les vestes Décathlon B’Twin/Van Rysel. Pour une cinquantaine d’euros, vous avez plusieurs couleurs, pour hommes et femmes, un tissu chaud mais un peu respirant, de larges poches à l’arrière donc une zippée et étanche en cas de pluie modérée.

Veste imperméable

La veste imperméable est comme un k-way adapté au vélo : de larges aérations pour l’air, sans laisser passer l’eau. J’ai acheté la mienne chez Décathlon il y a quelques années mais impossible d’en retrouver une similaire aujourd’hui ! Je vous propose ci-dessous le modèle qui s’en rapproche le plus, mais je n’ai pas testé ce modèle précisément. Ca ne tient pas chaud, mais c’est coupe vent bien étanche.

Tour de cou

C’est le principe de l’écharpe, mais en beaucoup plus léger. Personnellement, je suis fragile au niveau du cou, donc je porte un tour de cou dès qu’il fait moins de 10 degrés, alors que je peux rouler sans gants à zéro degrés… J’aime bien mon tour de cou Décathlon, mais impossible de le retrouver, alors je vous en propose un de la marque Gripgrab que j’apprécie pour d’autres produits. Celui-ci a l’avantage de pouvoir servir d’éponge à transpiration pour les jours les plus chauds.

Gants courts

A quoi ça sert de porter des gants s’il ne fait pas froid ? Principalement pour amortir le contact des mains sur le guidon grâce au gel présent sur les gants mais aussi protéger les mains en cas de chute. La première raison me suffit largement pour justifier de porter des gants même lorsqu’il fait chaud. Les gants courts Van rysel sont pas mal, les Gripgrab ci-dessous également :

Chaussures

Vous le savez probablement, il existe des pédales dites « automatiques ». Au lieu d’être plates, elles sont équipées d’un système qui permet de fixer une chaussure compatible afin de ne pas bouger de la pédale. Plusieurs avantages :

  • impossible de déraper ou glisser de la pédale
  • le pied ne bouge pas de sa position sur la pédale, donc une fois bien réglé il reste bien en position afin d’éviter les douleurs (chevilles, genoux, etc.)
  • possible de tirer vers le haut en plus de pousser, pour gagner en puissance et aussi faire travailler d’autres muscles afin de reposer ceux qui appuient sur la pédale

Vous l’aurez compris, pour utiliser des pédales automatiques et profiter de tous ces avantages, il faut des chaussures compatibles ! Généralement vous achetez vos chaussures « nues » et vous fixez des cales compatibles avec vos pédales. Il y a principalement 2 systèmes : Shimano SPD et Look. J’utilise des Shimano car les cales des look on tendance à s’user rapidement, contrairement aux SPD.

Ma paire de chaussures route bicolore asymétrique rose et bleue n’est plus vendue depuis des années, mais les chaussures Shimano RC500 sont plutôt pas mal. J’apprécie beaucoup le système de câble pour serrer, c’est très pratique car on peut régler le serrage avec précision.

Lunettes de soleil

Parce qu’on a parfois besoin de lunettes de soleil, et à d’autres moments on veut simplement du verre transparent pour se protéger du vent ou des insectes… J’ai opté pour des lunettes qui permettent d’y installer des verres de teintes différentes. Pour à peine 25€, les lunettes Neatt sont fournies avec 4 teintes, c’est la même qualité que des lunettes de soleil à 300€ mais ça me suffit largement !

Vêtements « non vélo »

Les vêtements hors vélo dépendent de votre voyage : si vous allez uniquement pédaler, alors n’en emportez pas trop mais si vous allez visiter, passer des journées sans rouler, etc. alors il vaut mieux prévoir en conséquence.

Un détail important : si vous avez des chaussures de vélo, il est probable que ce soit compliqué de marcher avec et vous voudrez probablement amener d’autres chaussures. Mais c’est lourd et encombrant. Optez pour des tongs, ou des baskets compactes. Merell propose par exemple des modèles très compacts et ultra légers :

Couchage

Si vous optez pour le camping, il est préférable de vous équiper en matelas, oreiller et tente peu encombrants et légers. Voici quelques références testés sur plusieurs voyages de milliers de kilomètres.

Matelas

Je vous propose 2 références assez différentes niveau matelas, selon que vous choisissiez le confort ou la compacité maximale. D’un côté le Sea To Summit autogonflant et très confortable, d’un autre côté le Nemo Tensor, 370 grammes et pas plus gros qu’une gourde de 650ml.

Sac de couchage

J’ai longtemps utilisé un sac de couchage Décathlon, mais le Husky est vraiment un cran au-dessus : plus compact, plus léger il est aussi plus chaud… mais forcément plus cher. Il est très doux et facile à entretenir, donc il n’est pas nécessaire de s’équiper d’un « sac à viande » en supplément si c’est juste une question d’hygiène. En matériel de bikepacking, je pars du principe que le sac de couchage est incontournable : en camping ou en gîte d’étape, il est indispensable, car la literie n’est pas toujours fournie dans le second.

Oreiller

Le mieux est d’opter pour des oreillers gonflables. Je n’ai pas encore trouvé mon bonheur mais d’après mes recherches la référence ci-dessous semble vraiment pas mal :

Tente

La tente est un équipement critique : sûrement l’un des objets les plus encombrants et lourds que vous allez emporter dans votre périple bikepacking. Je vous conseille la Nature hike Cloud-up 2 places : légère et facile à monter/démonter, elle est peu encombrante et plutôt bon marché, compte tenu de toutes les nuits d’hôtel qu’elle vous économisera !

Si vous cherchez du matériel de bikepacking résistant à l’humidité et à la pluie (même si il pleut relativement peu en été selon les régions), cette tente fait largement l’affaire. Attention cependant à bien l’aérer par temps sec pour entretenir la partie déperlante.

Matériel vélo et outils

Pneus

On pourrait faire un article entier consacré uniquement aux pneus en voyage ! Entre les modèles route, gravel, VTT, anti-crevaison… Je ne proposerai ici que 2 modèles. Tout d’abord, les fameux Marathon Plus de Schwalbe qui réduisent de 80/90% les crevaisons (selon mes propres statistiques…). Ils sont un peu chers mais durables, donc rentabilisés sur le long terme. Ensuite, les Schwalbe Grave G-One : ils existent en Speed, Allround, Bite et Ultrabite selon l’usage (route, gravel, VTT). Le Allround est le plus polyvalent.

Chambres à air

Je n’ai pas l’impression que la chambre à air joue un rôle essentiel sur le risque de crevaison et à moins de faire une course chronométrée, elle n’aura aucun impact sur vos performances. Ainsi, n’importe quelle chambre à air devrait convenir, à part peut-être les plus bas de gamme qui risquent de laisser passer l’air plus facilement via la valve, il faudrait alors regonfler chaque semaine votre pneu. Par habitude, j’opte pour du Michelin Airstop, mais j’ai déjà utilisé plusieurs autres marques sans vraiment constater de différences.

Multi-tool

La base du matériel de bikepacking. À vélo, vous aurez toujours besoin d’une trousse à outils : pratique, complète, mais encombrante et souvent lourde. Parce que personne ne veut partir en voyage avec une caisse à outils complète, il existe des multi-tools : l’équivalent d’un couteau suisse spécifique au vélo. Le Crankbrothers M17 a un excellent rapport qualité prix (17 fonctions/outils pour 17€) et semble fiable sur le long terme.

Pompes à vélo

Comme les outils, il y a la pompe qu’on a chez soit, généralement une pompe à pied pratique, fiable et puissante mais aussi très encombrante… Les mini pompes à transporter à vélo ont souvent trois défauts :

  • peu puissantes (vous ne pourrez pas gonfler des pneus de route à pression optimale),
  • sans manomètre (impossible de savoir à quelle pression on gonfle),
  • pas pratiques à utiliser car pas de pied.

La Zefal Air Profil FC02 corrige le premier défaut, avec une capacité à gonfler jusqu’à 116PSI (8 bar) en étant ultra compacte. Mais la référence la plus intéressante est la Ice Toolz A351 qui est compacte une fois repliée, mais comprend un mini-pied et un petit manomètre intégré. Plus grosse que la Zefal, elle permet de gonfler jusqu’à 140PSI, soit 9 bar !

Il existe également des pompes électriques, comme celle de Xiaomi : elle fonctionne sur batterie et permet de regonfler sans effort 8 pneus de vélo avant d’être rechargée. L’inconvénient, c’est qu’elle pèse 500 grammes…

Enfin, il reste l’option gonfleur Co2. On insère une cartouche de Co2 dans le gonfleur qui va gonfler instantanément le pneu. Je ne suis pas fan car cela génère des déchets (que faire de la cartouche vide ?) et on ne sait pas exactement à quelle pression on gonfle son pneu… C’est malgré tout un outil qu’utilisent beaucoup les pro/semi-pro.

Matériel électronique

Pour toute la partie électronique, cela va vraiment dépendre de chaque personne, de vos besoins, moyens, etc. Certains articles de cette catégorie vous seront certainement inutiles, mais voici les gadgets qui m’accompagnent dans mes aventures à deux roues !

Batterie externe

Qui dit électronique, dit besoin de recharge. Certain·es optent pour un moyeu de roue avec dynamo pour pouvoir recharger tous leurs appareils USB mais je ne suis pas fan et je préfère la bonne vieille batterie externe. Mais pas n’importe laquelle ! Anker est probablement la marque la plus fiable dans ce domaine et je vous recommande chaudement cette marque. Je possède le modèle 20Ah (souvent appelé 20 000mAh, ce qui est identique, cela revient à dire qu’un mètre vaut 1 000 millimètres) avec Power Delivery, ce qui permet de recharger des appareils gourmands, comme un pc portable en USB-C si besoin. Anker propose de nombreux modèles de toutes tailles, en USB-A (USB « classique ») et/ou USB-C.

Appareil photo ?

J’adore prendre des photos mais depuis quelques années, je n’emporte plus mon appareil photo réflex en bikepacking pour plusieurs raisons :

  • il reste trop gros et fragile pour ce type de voyage.
  • les smartphones ont tellement gagné en qualité de photos, qu’en dehors du zoom ou quelques fonctions spécifiques, ils peuvent remplacer un bon appareil photo dans de nombreuses situations.

En revanche, lorsque j’ai arrêté d’emporter mon réflex, j’ai commencé à prendre un autre appareil qui ne peut-être remplacé par aucun autre…

Drone

Lorsque je sais que je vais rouler dans des lieux où le drone est autorisé, je l’emporte souvent avec moi. Je vois le drone comme un appareil photo volant. Plus compact que l’appareil photo reflex, il me permet d’obtenir des images impossible avec un appareil conventionnel. Bien sûr, les réglages et la qualité des images sont incomparables avec un réflex donc la comparaison n’a pas lieu d’être. Mais toujours est-il que le drone remplace mon appareil réflex dans mon sac en bikepacking ! J’ai opté pour le Mavic Air 2 qui est vraiment impressionnant, simple à piloter et fiable, bien qu’un peu moins compact que le premier Mavic Air.

Enceinte

Rouler en musique c’est plus sympa et motivant ! Pour ça, la JBL Clip4 est parfaite : un son suffisamment puissant pour sonoriser tout un peloton d’une dizaine de cyclistes, parfaitement étanche (vous pouvez même l’immerger dans l’eau !) et une excellente autonomie (environ 10h). Le petit plus : un mousqueton intégré pour pouvoir l’attacher n’importe où, sur vos sacoches de selle de bikepacking par exemple !

Casque audio Bluetooth

Je n’emporte pas toujours l’enceinte mais très fréquemment mon casque audio Bluetooth. En revanche, je n’écoute jamais de musique avec le casque en roulant car c’est interdit et surtout dangereux ! Pour une utilisation exclusivement à l’arrêt, dans la tente, le soir, etc.

Panneaux solaires ?

J’ai de petits panneaux solaires mais j’ai tendance à peu les utiliser car ce n’est pas très efficace niveau recharge, et pas simple à attacher au vélo. A réserver pour un usage à l’arrêt, lorsque vous êtes vraiment loin de tout point de recharge. A la limite, même dans ce cas c’est mieux d’avoir un moyeu dynamo plutôt que des panneaux solaires encombrants. Voici tout de même le modèle que je possède, mais que je n’emmène presque jamais en voyage.

Chargeur

Pour recharger tous vos appareils à l’arrêt, je vous conseille un chargeur avec plusieurs ports : cela vous permet de recharger tous vos appareils d’un coup, sans nécessiter plusieurs chargeurs (lourd et encombrant) ni plusieurs prises (nécessite souvent une multiprise, encore une fois inutilement encombrant). Le chargeur Anker 5 ports me permet de recharger simultanément smartphone, GPS, lumières USB, batterie externe…

Antivols

Probablement le domaine où les conseils sont les plus variés : entre le mini antivol de la taille d’un briquet et le gros U de 3 kg avec alarme… Je pars généralement avec un Zéfal F16L facile à accrocher au cadre et compact une fois replié, mais un peu lourd.

Je vous recommande mon article sur les antivols pour y voir plus clair sur l’offre ultra diversifiée des antivols. J’ai également fait une vidéo Youtube sur les meilleurs antivols pour vélo !

Lumières spéciale vélo

Avant

Le but de la lumière avant est avant tout de bien voir. Pour bien voir devant soit à plusieurs mètres, en pleine obscurité, il faut un feu puissant. Un feu puissant, ça consomme beaucoup, donc il faut éviter tout ce qui utilise des piles, car ça génère des déchets encombrants et ça fini par couter cher. Une bonne lumière avant, c’est 500 lumens minimum, rechargeable en USB. Ces deux seuls critères font rapidement monter le prix… La marque Knog est un peu chère mais ils proposent une gamme complète de lumières de différentes puissances, associées à des batteries de différentes capacités. Les batteries peuvent servir de batterie externe d’appoint, ça peut toujours servir…

J’ai également fait une vidéo sur le sujet si vous souhaitez vous renseigner sur des lumières puissantes en voyage.

Arrière

Le but de la lumière arrière est d’être vu. Pour ça, l’idéal est une lumière rouge clignotant rapidement. Moins puissante et pas allumée en continu, la lumière arrière consomme moins d’énergie que la lumière avant et coûte donc bien moins cher.

Vidéo

Voici une vidéo où je présente mon matériel de bikepacking et où j’explique et présente en détail toutes les affaires que j’estime nécessaires à cette pratique :

Conclusion

Bien entendu, cette liste ne couvre pas les besoins de tout le monde, tous les types de voyages, etc. Mais c’est ma checklist de voyage et en principe avec cela, il ne devrait pas vous manquer grand chose. On pourrait ajouter plein d’éléments dans cette liste et en retirer d’autres et c’est normal : il n’y a pas de liste parfaite qui convient à tout le monde. C’est comme les vélos, il n’en existe pas un parfait qui convient à tous les cyclistes…

N’hésitez pas à poser vos questions en commentaires ou à m’indiquer ce que vous emportez avec vous et qui ne figure pas dans cette liste !